J'espère qu'internet et la edémocratie seront au coeur des discussions pour les municipales 2014:)
Voici ma contribution au débat en quelques slides :" Internet & démocratie : vision globale, enjeu local"
J'espère qu'internet et la edémocratie seront au coeur des discussions pour les municipales 2014:)
Voici ma contribution au débat en quelques slides :" Internet & démocratie : vision globale, enjeu local"
Posté par Alban le 31/07/2013 dans democratie et internet, democratie participative, democratie sur internet, démocratie augmentée, démocratie participative, e administration, e-campagne, e-democratie, e-gouvernance, e-gov, edemocracy, edemocratie, egocratie et democratie, engagement 2.0, municipales2014 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Voici la captation intégrale (18 minutes) de cette intervention sur la "démocratie augmentée", c'est à dire comment utiliser les médias sociaux pour rendre la démocratie française plus démocratique:)
On y parle Hadopi, cumul des mandats, forums en ligne, débat identité nationale, accordéon, et lune de miel entre les électeurs et leur président !
Enjoy ! les slides présentés sont aussi ci-dessous
Posté par Alban le 19/10/2012 dans debat identite nationale, democratie augmentée, democratie et internet, democratie participative, democratie sur internet, démocratie augmentée, démocratie délibérative, démocratie participative, e administration, e-campagne, e-democratie, e-gouvernance, e-gov, edemocracy, edemocratie, gov20, hack democracy, hacktivisme, hadopi, technologie, TED, TEDx Rennes | Lien permanent | Commentaires (4) | TrackBack (0)
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Ceci est une initiative citoyenne qui mérite d'être soulignée, réalisée par TuttiVox ; TuttiVox est né à l’issue du premier Startup Weekend de Nantes en février 2011
TuttiVox est l’éditeur de l’application àVoter qui rend accessibles les propositions des candidats à l’élection présidentielle en 2012 dans Facebook et sur les téléphones mobiles. Justement dans facebook, ils viennent de sortir l'application appelée "à voter" : pourquoi faire ?
- Comparer les propositions par thème entre deux candidats
- propositions rédigées en 250 caractères pour plus de clarté (écrites par les équipes de campagne elle-meme)
- permet de voter pour/contre/blanc et pourcentage de faisabilité
- permet aussi de partager les propositions sur les pages facebook des candidats
L'application cible les 18-40 ans d'où le choix délibéré de facebook, et elle est sans pub, apolitique, et garantissant le respect des données privées, alors pourquoi s'en priver? à Voter:)
Posté par Alban le 12/03/2012 dans campagne sur le net, démocratie participative, e-campagne, edemocracy, edemocratie, tuttivox | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
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crédits: vintaga poster: http://www.flickr.com/photos/vintagaposters/6782883764/sizes/z/in/photostream/
En cette période électorale, il est de bon ton de s'interroger sur la place d'internet dans la démocratie, et ce qu'il nous faudrait pour que la e-démocratie gagne enfin ses lettres de noblesse en France. Je partage donc ci-dessous l'entretien que j'ai réalisé avec une étudiante dans le cadre de son mémoire de recherche sur le sujet. Et vous, pensez-vous que le quinquennat qui vient va changer les choses?
Entretien :
Pourquoi avoir écrit « Egocratie et Démocratie » ?
Après avoir traité de chamboulement du secteur culturel à l’arrivée d’internet (2004-2010), il me semblait naturel d’étendre le champs de recherche à la politique. La culture est souvent à l’avant-garde des changements sociétaux. Peer to Peer, gratuité, cocréation, web2 sont porteurs de valeurs potentiellement politiques dépassant le champs de la musique ou du cinéma en ligne
Les internautes sont de plus en plus actifs sur internet et sur les différents médias sociaux, mais le sont-ils autant lorsqu’il s’agit de politique ?
Si l’activité en ligne c’est liker, contribuer, ou commenter, je vous renvoie à « l’activité » sur les sites d’actualité (lemonde, le figaro, libé, rue89 etc), aux nombres de visites sur les sites en .gouv.fr, aux nombres de likes de pages d’association ou de causes etc
Pourriez-vous me donner un/des exemples concrets de nouvelles technologies politiques ?
L’open data est une innovation qui peut devenir une nouvelle technologie politique, permettant aux représentants de se légitimer en rendant/publiant des comptes régulièrement, et qu’augmentant leur connaissance d’un sujet, autrement qu’en organisant des commissions parlementaires
A qui seraient principalement destinées ces nouvelles technologies?
Elles sont destinées principalement aux représentants du peuple élus démocratiquement. L’idée est d’outiller notre démocratie (indirecte je vous le rappelle) pour augmenter l’efficacité de nos dirigeants dans l’exercice de leur mandat. Ces technologies sont étroitement liées à la vitalité de l’espace public, qui lui, est à la main des « citoyens »
Comment faire pour que ces nouvelles technologies soient utilisées par le plus grand nombre et pas uniquement par des « experts » ou par des personnes ayant une certaine connaissance de la politique ?
Je propose la création d’un ministère transverse de la « participation citoyenne », ayant pour objectif de favoriser l’investissement de tous les ministères en matière de e-démocratie, et également celui du citoyen dans la vie politique, entre deux temps forts électoraux.
Pensez-vous que la participation des citoyens à ces nouvelles technologies peut être importante ?
Je l’espère, mais elle n’est pas nécessaire (cf point 2). Ils réalisent déjà suffisamment « d’actes politiques » au quotidien à décoder pour ne pas avoir besoin d’un grand nombre d’activistes « dédiés ».
Pourrions-nous parler de « nouvelle » citoyenneté ?
Il s’agit plutôt d’un nouveau dynamisme de l’ « espace public », qui connait une mutation comme jamais depuis l’après-guerre. La 5ème république nécessite une importante mise à jour selon moi pour remettre nos représentants en phase avec lui.
Comment définiriez-vous cette nouvelle citoyenneté ?
La nouvelle citoyenneté que vous semblez appeler de vos vœux se caractérise par l’ajout, dans l’espace public, de propos privés ou à simple portée personelle, mais qui se retrouvent diffusés publiquement (de manière volontaire ou non) sur la toile ; les médias sociaux étant ce qu’ils sont, ces propos singuliers peuvent parfois se retrouver avec une portée globalisante ou universalisante inattendue.
L’abaissement de la barrière à l’entrée pour les actes d’activisme (soutenir une cause, une association, adhérer à un mouvement, en faire la promotion) via les réseaux sociaux ajoute également une palette d’actions nouvelles au citoyen militant
Ne faudrait-il pas éduquer ou accompagner les enfants/étudiants dans cette nouvelle « citoyenneté » ?
Si déjà les cours d’éducation civique étaient mieux expliqués, et bien transmis, ça serait déjà pas mal… On ne peut exiger plus d’un citoyen en démocratie indirecte que d’aller voter en étant éclairé sur son choix. Chacun est libre alors d’interpréter ce qu’il faut faire pour être « éclairé ». Si on veut aller plus loin, il faut résoudre la question de mise à jour de la 5ème republique
Les citoyens font de moins en moins confiances aux politiques de nos jours :Les nouvelles technologies politiques pourraient-elles redonner confiance ? En quoi pourraient-elles ?
Elles pourraient d’une part permettre :
- aux représentants de ne plus avoir peur de l’espace public numérique, d’en faire une composante à part entière de leur « gouvernance »
- aux citoyens de (re)découvrir les autres citoyens qui composent la France, avec les avantages d’internet (anonymat, visibilité réduite de caractères potentiellement discriminant ou nourrissant d’éventuels préjugés etc)
- Aux citoyens et représentants de découvrir l’avis de l’autre de manière moins figée que le sont les sondages, fléaux des temps modernes
La participation en ligne des citoyens est souvent importante au moment des élections puis elle diminue fortement, comment expliquez-vous cela ?
Existe-t-il une réelle volonté politique d’en appeler à l’avis des citoyens via les circuits constitutionnels ? référendums, commissions etc… regardez l’état de « www.forums.gouv.fr », c’est pitoyable. Faute de quoi la participation en ligne a quand meme lieu, mais sous une forme de pression beaucoup plus indirecte (détournement, dégradation de réputation etc)
Comment faire pour que cette participation reste active sur le long terme ?
Déployer les 5 nouvelles technologies politiques décrites dans « egocratie et démocratie », pour insuffler plus de :
- Légimité dans laction de représentation
- Prédictibilité dans les conséquences des actions politiques sur la société
- connaissance dans les grandes questions
- utilité accrue de l’activité exécutive et législative
- agilité dans le cycle de prise de décisions
Pensez-vous que les institutions politiques ont une réelle volonté d’interagir avec les citoyens ?
Je pense que nos classes dirigeantes n’ont pas reçu la formation (et n’ont pas été aculturés) aux mécaniques participatives ou contributives. Leur mode de gouvernance issu des partis ou des écoles d’administration se déphase d’avec la société connectée un peu plus chaque année
Vous dîtes dans votre livre que lestentatives d’interactions avec les citoyens jusqu’à présent sont davantage administratives que politique, comment expliquez-vous cela ?
L’administration est régie par des règles simples de rentabilité. Tout ce qui peut optimiser son fonctionnement est considéré sans a priori. Alors que le politique est question de vision personnelle ou d’idéologie non démontrable (=parti-pris). On ne peut introduire du participatif en politique sans une croyance forte de son bien-fondé pour la société
Pensez-vous que les citoyens ainsi que les institutions politiques sont prêts pour ces avancées ?
Chaque élection nouvelle constitue une courbe d’apprentissage. Les critères que l’on pensait être les bons pour faire un bon président sont remis à jour à chaque fin de mandat. Peut etre qu’on arrivera à penser un jour que la croyance dans l’intéraction avec les citoyens est un critère nécessaire pour être un bon président
Selon vous quelle est la limite de ces technologies interactives ?
Il ne faudrait pas qu’elles tombent dans de mauvaises mains et soient détournées. Mais ça ne peut pas être pire qu’aujourd’hui où la participation est cesse dévoyée faute de cadre établi…
Posté par Alban le 27/02/2012 dans démocratie participative, e-campagne, e-democratie, e-gouvernance, e-gov, presidentielle 2012 | Lien permanent | Commentaires (4) | TrackBack (0)
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Voici une très bonne étude de GSA intitulée "Engaging Citizens in Government", avec la plupart des acteurs clés interviewés :
- Darlene Meskell is the Director of the GSA Center for Intergovernmental Solutions in the GSA Office of Citizen Services and Communications.
- Katie Jacobs Stanton was appointed Director of Citizen Participation in the White House Office of New Media in February. She retired since
- Andrew Stott was named the UK Government's first Director of Digital Engagement in May. He was previously the UK Government's Deputy CIO
- Lena Trudeau is a Vice President of the National Academy of Public Administration, and oversaw the four online public dialogues conducted for the federal government in fiscal year 2009. Frank Reeder is a Fellow of the National Academy of Public Administration and President of the Reeder Group.
- Jed Miller is Internet director at the Revenue Watch Institute and a contributing blogger for Personal Democracy Forum. He was previously director of Internet programs at the American Civil Liberties Union.
- Jim Gilliam is the founder of http://www.Whitehouse2.org and of the technology platform behind it.
- Hille Hinsberg is the communication officer with Estonia's State Chancellery.
- Tiago Peixoto is a researcher at the European University Institute working with online and offline participation. Guilherme Lessa is a writer and social entrepreneur.
- Matt Leighninger is the executive director of the Deliberative Democracy Consortium.
Posté par Alban le 16/11/2011 dans data.gov, démocratie participative, e-democratie, engagement 2.0, interaction avec hommes politiques | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Comme le rapporte le Guardian, l'Islande est en train de crowdsourcer la rédaction de sa constitution :
"I believe this is the first time a constitution is being drafted basically on the internet," said Thorvaldur Gylfason, member of Iceland's constitutional council. "The public sees the constitution come into being before their eyes … This is very different from old times where constitution makers sometimes found it better to find themselves a remote spot out of sight, out of touch."
L'Islande, qui se relève des effets de la crise sur son système bancaire et ses institutions prépare sa e-constitution. Pour inciter les citoyens à partager leurs idées et les associer à ce projet, l'Etat islandais a donc choisi d'utiliser Internet et les réseaux sociaux.
Après, utiliser les médias interactifs ne garantit pas plus d'implication de la part de la population. La règle des 1% de contributeurs s'applique aussi à la politique : En effet, Pierre Rosanvallon, professeur au collège de France et auteur de La légitimité démocratique paru en 2008, explique que « si l’on considère la fréquence de l’engagement régulier dans de telles instances organisées (comités de quartiers, jurys citoyens, commissions d’enquête etc) on a estimé dans le cas britannique qu’environ 1% des adultes étaient concernés. »
C’est à dire qu’un seul pour-cent des citoyens anglais contribue de manière active à la vie publique, au « bénéfice » de 100% de la population. Cette estimation se fonde sur l’étude de Tom Bentley détaillée dans Everyday Democracy paru en 2005. Ce dernier relève également qu’on retrouve à peu près ce même niveau de membres actifs quelque soit les pays où il a mené son étude, exception faite du Brésil qui atteint les 2%.
Peut-on voir aussi un lien avec les 1% de français environ qui sont membres d’un parti politique (pour info les adhérents PS + UMP font déjà un total de 450 000 adhérents), ces derniers définissant le choix des représentants imposé à 99% de la population avant le vote au suffrage « universel »?
Pour revenir à l'Islande, les réunions du conseil constitutionnel sont ouvertes à tous et retransmises, en direct, sur le site de l'institution comme sur sa fan page (4000 fans, moyen), sur lesquels on peut également consulter et commenter les ébauches du texte. Une façon innovante d'associer les citoyens en leur proposant l'information démocratique là où ils ont l'habitude de surfer (c'est fou tout ce qu'on peut faire sur facebook:)
Posté par Alban le 05/09/2011 dans co-creation, coproduction législative, crowdfunding, democratie participative, Do It Yourself, démocratie participative, e-democratie, edemocracy, edemocratie | Lien permanent | Commentaires (9) | TrackBack (0)
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A lire de matin sur Homo Numericus, cette très bonne analyse critique de Pierre Mounier sur "Egocratie et Démocratie, la nécessité de nouvelles technologies politiques"
Extrait: "Le moins que l’on puisse dire est que le livre d’Alban Martin, paru en 2010 tombe aujourd’hui à pic. Car des indignados espagnols aux « émeutiers » anglais en passant par les révoltés grecs de la place Syntagma et la défiance des marchés financiers, tout indique aujourd’hui, comme ce livre en fait la démonstration, qu’une certaine forme de démocratie représentative arrive à bout de souffle. Peu efficace, peu légitime, incapable de fournir des réponses efficaces dans un contexte incertain et en mouvement rapide, le système politique actuel, qui s’est constitué il y a deux siècles sur la base d’idées qui en ont trois arrive certainement à la fin d’un cycle historique. Comme l’a dit Daniel Cohn-Bendit de manière symptomatique il y a quelques jours à propos de la rencontre de crise entre les deux chefs d’Etat français et allemands : « La parole de nos gouvernants est triple zéro ».
La suite sur Homo Numericus.
Homo Numericus traite du sujet des technologies numériques et de la société, avec la distanciation nécessaire pour mieux en saisir l'apport ! J'y ai trouvé de bonnes analyses et des contacts avec des doctorants de très bonne qualité.
Posté par Alban le 22/08/2011 dans démocratie participative, e-democratie, e-gouvernance, e-gov, edemocratie, egocratie et democratie, engagement 2.0, espace public | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Bon, ma prochaine intervention au Webtv Festival de La Rochelle se rapproche à grand pas. J'interviendrai dans un panel composé de Florent Latrive, Dailymotion et Public Senat sur le thème "Internet et politique".
Voici, dans les grandes lignes, les notes de ma présentation sur "la mobilisation vidéo sur la toile en période non électorale : apprentissages, réflexions, prospectives" :
Du coté du pouvoir et de ses représentants
La chaine youtube d'Obama :
- Inaugural speech (1,5M vues)
- Weekly adress just after (24 janv 2009) : 1,2M vues
- Maintenant : weekly adress fait 30-50K vidéos vues
Sa chaîne youtube mélange aussi des vidéos prises sur le fait : maintient un lien continu ; Repris sur whitehouse.gov, avec du livestream de temps en temps
Il demande aux citoyens d’héberger des sessions à domicile de visionnage de grands évènements politiques/discours de barack obama, exemple : "On Tuesday, January 25th, President Obama will deliver his second State of the Union address. To help get the word out about the President's vision for the next year, OFA volunteers will be holding State of the Union watch parties and strategy sessions across the country -- and if we're going to have enough events in enough places, we'll need your help."
Trois exemples de demande organisée de contribution vidéos / contest sur sujets destinés à investir / mobiliser l’opinion public ou inviter au don:
1) Health Reforme Video Challenge organisé par ses supporters rassemblés après l’élection au sein de l’organisation Organizing America qui anime le site de réseau social myBarackobama.com.
2) e Ministère de la Santé a lancé un concours demandant aux américains de réaliser un clip de prévention contre la grippe A, le Flu Video Contest (récompense 2500 dollars)
3) On peut enfin citer ici la campagne intitulée « La démocratie, votre voix, votre vidéo » (Democracy Video Challenge). : Ce dernier contest vidéo impulsé par le Département d’Etat propose aux internautes du monde entier de produire un clip vidéo donnant leur conception de la démocratie è Cette approche de la « diplomatie 2. 0 doit être rapprochée de la manière dont l’administration américaine entend repositionner le leadership américain dans le monde. On a ainsi pu parler de soft diplomacy ou de diplomatie de la main tendue.
Du côté des citoyens
Réécriture citoyenne d’un événement politique :
- ex « émeute de 2005 » sous forme de machinima avec les sims
- ex jeu flash julien assange et barack obama pour de la dérision politique, viralise un message, permet soit de le dédramatiser, soit de propager un message politique au plus grand nombre (versus un vrai message politique sérieux qui mettrait du temps à se diffuser)
- Vidéos marrantes du député européen allemand qui rigole à la tribune du parlement, sous titrée avec des blagues sur les retraites : association de deux buzz/actus pleine d’opportunisme
Amplification également d'un message politique via un meme : ex Meme avec la chute par exemple sur la vidéo d’hortefeux
Enfin Usage panoptique de la vidéo : archive de prise de parole, vidéos publiques d’instants privés pour dégrader la réputation de l’homme politique et le rendre inéligible. ex : vidéo de Ségolène Royal au conseil général de poitou charentes qui ne manquera pas de ressortir en période électorale
La démocratie selon Ségolène Royal
envoyé par myonlylover11. - Regardez les dernières vidéos d'actu.
Posté par Alban le 09/03/2011 dans communication politique, democratie participative, democratie sur internet, Do It Yourself, démocratie participative, e-democratie, edemocracy, edemocratie, egocratie et democratie | Lien permanent | Commentaires (4) | TrackBack (0)
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Comme je l'indiquais la semaine dernière, vous trouverez ci-dessous la vidéo correspondant à ma présentation à Lausanne sur "Le Web2, pourquoi les entreprises en profitent plus que la démocratie" !
Bonne écoute !
Alban Martin - Social Media Club : Le Web 2, pourquoi les entreprises en profitent plus que la démocratie ? from Rezonance on Vimeo.
Posté par Alban le 21/02/2011 dans co-creation, Conférence, démocratie participative, e administration, e-gouvernance, gov20 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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En attendant la captation vidéo intégrale de cette présentation réalisée à Lausanne (Suisse) jeudi dernier, vous trouverez ci-dessous les slides.
Il s'agit d'une explication du parallèle entre la fonction de représentant du peuple (élu démocratique) et le représentant des besoins des clients (le marketeur)
Puis une description des apports du web participatif à la fonction de marketing, qui devient interactive. Et enfin l'application des ces apports au domaine de la représentation démocratique.
Ces réflexions sont tirées du livre: "Egocratie et Démocratie, la nécessité de Nouvelles Technologies Politiques", oct2010, fyp éditions.
Bonne lecture !
Posté par Alban le 14/02/2011 dans crowdsourcing, data.gov, democratie participative, démocratie participative, e administration, e-democratie, e-gouvernance, e-gov, edemocracy, edemocratie, egocratie et democratie, engagement 2.0, rezonance | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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La commission européenne lance une grande consultation pour faire évoluer la directive de 2003 sur l'accès aux données publiques européennes. La directive actuellement en vigueur date effectivement un peu au regard des avancées récentes dans le domaine
La consultation est introduite en ces termes:
- Do you have ideas, information, experience or views on Europe’s current Public Sector Information Re-use framework and Directive?
- Everyone is invited to ‘Have Your Say and Participate’: Citizens, Researchers, Open Data Entrepreneurs, Digital Activists, Re-users and PSI Holders.
- Now is the time to express your views, if you think the current framework needs to be changed.
La consultation a pour but de : The consultation will feed into the debate on possible policy options that should be considered for the review, and will contribute to the impact assessment that will be carried out subsequently, associated with proposals for possible legislative or other measures
Il est intéressant de lire que l'UE a de grands espoirs de création de revenus avec l'open data, car elle chiffre les retombées de l'open-data de la manière suivante: Better and more use of public sector information has great potential to generate new businesses and jobs and to provide consumers with more choice and more value for money. The mobile apps market, partly based on PSI-generated data, could grow to € 15 billion by 2013. However, much of Europe's PSI is insufficiently or even sometimes not exploited. We cannot lose out on this opportunity. We need to consider whether and how the EU rules on re-use of PSI should be amended to fully unlock PSI's economic potential.
A vos claviers !
Posté par Alban le 23/09/2010 dans démocratie participative, e-democratie, open data | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Oui oui, c'est un vrai Digg-like que je viens de découvrir sur http://www.ateliers-apprentissage.emploi.gouv.fr/
Posté par Alban le 05/02/2010 dans crowdsourcing, démocratie participative, e-democratie, engagement 2.0, espace public, wiki gouvernement | Lien permanent | Commentaires (3) | TrackBack (0)
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Ce genre d'initiative, en phase avec son temps et qui marche bien, mérite qu'on s'y attarde, pour donner je l'espère envie d'en faire encore beaucoup d'autres dans ce style !
Connaissez vous le site ensemble-simplifions.fr? Sa logique est bonne, je cite
"
Auparavant, pour faire évoluer ses services, l’administration a souvent raisonné à partir de sa propre organisation. Aujourd’hui (...) elle propose d’inverser la logique : partir systématiquement de l’expérience des usagers dans leurs relations à l’administration, être à leur écoute pour mieux identifier les facteurs d’insatisfactions, de façon à pouvoir engager ensuite des projets de simplifications correspondants à leurs attentes"
Oui, l'administration fait du web 2 ! le site
www.ensemble-simplifions.fr permet donc de participer de plusieurs manières :
L'interface rappelle donc ce qui se fait de mieux dans le domaine du participatif sur internet, et la logique est respectée jusqu'au bout, puisque concrètement des mesures tirées du site et des votes des internautes sont effectivement implémentées ! Espérons que ça donne envie d'adapter ces méthodes à d'autres pans de la société (et pas que de l'optimisation de process)
Voici ci-dessous la première liste des 15 mesures inspirées des idées des administrés français, et qui vont réellement être implémentées !
Pour les particuliers :
* s’inscrire sur les listes électorales par internet ;
* permettre à tous les jeunes Français âgés de 16 ans de réaliser sur internet les démarches liées au recensement citoyen ;
* déclarer la perte de ses papiers d’identité et demander leur renouvellement en une seule démarche ;
* lors du décès d’un proche, éviter à la famille d’avoir à fournir plusieurs fois les mêmes informations à différentes administrations ;
* simplifier l’ouverture et le renouvellement des droits pour les personnes handicapées.
Pour les entreprises :
* permettre aux entreprises retenues dans le cadre d’un marché public d’obtenir une attestation fiscale dématérialisée ;
* simplifier la déclaration préalable à l’embauche et expérimenter la déclaration simplifiée par téléphone ;
* faciliter le transfert de siège social d’une entreprise grâce à un dossier plus simple et une procédure en ligne ;
* simplifier la vie de l’entrepreneur, de la création aux premiers mois d’activité de l’entreprise, grâce à un plan d’action de 10 mesures ;
* éviter aux entreprises d’avoir à fournir plusieurs fois les mêmes informations de base (chiffre d’affaires, effectifs, etc.) aux administrations.
Pour les collectivités :
* supprimer les demandes de copie ou d’extrait d’acte d’état civil, et les remplacer par un échange d’informations sécurisé entre les communes et les administrations ;
* dématérialiser les procédures d’urbanisme, en commençant par la déclaration d’intention d’aliéner, pour simplifier les démarches lors des transactions immobilières.
Pour les associations :
* éviter aux associations d’avoir à fournir plusieurs fois les mêmes informations à chaque demande d’agrément ;
* permettre aux associations de déposer en ligne leurs dossiers de demande de subventions.
Merci à Robin pour l'info, et pour cette initiative:)
Posté par Alban le 19/11/2009 dans démocratie participative, e administration, e-democratie, e-gouvernance, edemocracy, edemocratie, engagement 2.0, web 2.0, wiki gouvernement | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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