alban

Mes lectures du moment !

Grâce aux vacances de la Toussaint, j'ai enfin le temps de lire les livres en retard depuis la rentrée dernière. Voici donc mes impressions sur les 4 ouvrages que j ai recus récemment :

 

1) La fin de la publicite, ecrit par 3 supers enseignantes du celsa : Valerie Patrin Leclere, Caroline Marti de Montety, et Karine Berthelot Guiet, aux editions Le bord de l eau

 

Cet ouvrage est amené à devenir une référence pour qui veut appréhender les mutations des industries mediatiques (notamment la presse). La publicitarisation des titres de presse par exemple, via la creation de contenus ou supplements destinés à servir d abord d ecrin à un placement editorialise des marques, est un phenomene fort bien decrit, de maniere simple et limpide. De l'autre cote, la depublicitarisation des marques via les happenings et autres ancrages dans des lieux de vie non connotés comme des "espaces d'annonces", est une tendance passée au crible avec le recul critique necessaire pour essayer de redessiner des contours (là ou tout est mis en oeuvre pour les estomper).
A lire absolument !

 

2) Transformation digitale de David Fayon et Michael Tartar aux editions Pearson

 

Mon ami David Fayon commence à disposer d une bibliographie impressionnante sur le thème du web. Cette fois ci, cet ouvrage permet de comprendre les enjeux lies au numerique pour chaque aspect de la strategie d'entreprise et de mesurer le niveau de maturite de son organisation
C est donc plus qu'un essai, ce livre est un outil actioniable, directement et au fil de l eau, afin de passer de la theorie à la pratique en minimisant la prise de risque. La methodologie proposee est également ideale si vous devez faire de la pédagogie en interne afin de gerer les freins au changement

 

3) Critique de la trivialite, par Yves Jeanneret, professeur au Celsa et surtout la reference connue de toute personne s'interessant de près ou de loin aux Sciences de l'Information et de la Communication (SIC), aux editions non standard

 

Attention, objet de grande valeur entre les mains: le livre est volumineux, la maquette est magnifique, le lexique riche, les illustrations tirees des tresors caches de l auteur sont parfaitement utiles, et surtout le travail d ecriture de ce chercheur est dense et profond, comme l'est sa vie passee à reflechir sur ce theme. La theorie de la trivialite conçoit la culture comme une pierre qui roule et amasse mousse. Ce faisant, elle aide à requalifier certaines dynamiques actuelles des industries de la culture et de la communication, habiles à faire de la mousse et a en tirer bénéfice.  Les ancrages historiques sont nombreux afin de mieux eclairer les phénomènes contemporains que sont wikipedia, l "intelligence collective" ou encore le marketing dit viral. Je prendrai le temps de faire une fiche de lecture la prochaine fois, mais n attendez pas pour l'acheter hein !

 

4) bonus : Effeuillage saison 3, la revue des étudiants du celsa, sous titrée "la revue qui met les medias a nu"

Encore un numero reussi de cette revue qui s est rapidement fait un nom aupres des professionnels des medias. Vous pouvez la consulter librement sur effeuillage-la-revue.fr si vous voulez en connaitre les raisons. Les thèmes passionnants de ce numéro 3 sont notamment "sport et medias" et "les miroirs de la fiction". Je recommande par ailleurs la lecture particulière des articles sur Snapchat (p25) par Valérie Jeanne Perrier, ou encore celui titré "what the fuck, l'étrange et internet dans la fiction audiovisuelle aujourd'hui"(p62) pour prendre conscience de certains phénomènes d'influence qui passent sous les radars

 

Bonne lecture à tous !

Summer cession du #celsa, demandez le programme

Comme vous le savez peut-être, je suis Maître de conférence associé au Celsa Paris IV Sorbonne depuis 2008,

Saviez vous que Nos enseignants chercheurs et associés organiseront cours (en anglais) et visites (Versailles, le Louvre, Musée de la Publicité etc.) au mois de juin, pour les étudiants étrangers, autour du thème de la communication en France. Nous avons essayé de créer un programme varié et interactif, qui alterne excursions dans Paris, et cours au Celsa. 

Le détail et l'inscription ci-dessous !

Summer sessioncelsa sorbonne2012(programme)

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Très bonne série d'entretiens vidéos pour faire le point sur #transmedia #réalitéaugmentée #data #influence

A regarder en ce moment sur techtoc.tv, une très bonne série d'analyse pointues sur les medias sociaux (en 20 minutes par vidéo), en partenariat avec le social media club france et le master Media Informatisé et Stratégie de Communication du celsa !

Enjoy !

 

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Rencontre avec Maxime Verner : #Celsa #présidentielles #jeunes

Ce visage vous dit peut-etre quelque chose ? alors, c'est que:

- vous êtes ou avez été étudiants au celsa

- vous avez regardé le grand journal récemment

- vous avez lu la 4ème de couverture du livre "Jeunes de tous les âges, unissons-nous"

Il s'agit surtout et avant tout de Maxime Verner, en passe (en lui souhaite) de devenir le plus jeune candidat aux présidentielles de la 5ème république

 

Ayant eu M. Verner comme étudiant, et l'ayant revu la semaine dernière après sa première collecte de signatures, il était indispensable de vous parler de lui et son initiative.

Dans la rubrique "à propos" de son blog, on découvre qu'il est né près de Lyon en 1989 (il aura 22 ans le 11 septembre). A 16 ans, il fait du porte à porte pour aider les gens à s'inscrire sur les listes électorales

 

 

A 18 ans, il est le plus jeune candidat aux élections municipales, à Bron (40 000 habitants). Pas d'héritage militant ou politique dans la famille de M. Verner, juste l'envie d'en être.

 

 

En début d'année, il se bat pour ramener l'âge légal pour candidater au poste de président de la république à 18ans. Effectivement, comme il l'explique, à partir du moment où l'on peut voter, pourquoi ne pas être potentiellement éligible, sinon, on instaure une citoyenneté à deux vitesses, qui n'est pas constitutionnelle. Le récit du vote de cette loi est d'ailleurs épique, avec ses aller-retours entre le sénat, l'assemblée nationale, le président de la république et le conseil constitutionnel. Une première victoire selon moi qui permet à ce jeune candidat de se familiariser avec les rouages de la démocratie ; c'est son premier fait d'arme surtout.

 

 

Sur la base d'un livre programme, appelé "Jeunes de tous les âges, unissons-nous", il part chercher les 500 parrainages. A date il en a plus d'une centaine ; Mais comme il me l'indique justement "le plus dur n'est pas d'en avoir 500, si tu peux en avoir 1, tu peux en avoir 500". Il faut juste du temps, du terrain, de la pédagogie.

N'ayant pas (encore) lu son ouvrage, le meilleur atout de M. Verner selon moi est sa fraîcheur d'esprit. Pas de longue tirade où on s'écouterait parler, pas de leçon, du vécu avant tout, et un grand enthousiasme. Familier des nouvelles technologies, M. Verner n'est pas non plus le "candidat de l'internet". Il n'est pas non plus le "porte-parole" de la jeunesse, mais indique plutôt être un "porte-voix", nuance déterminante.

Pour lui, se présenter aux élections n'est pas forcément "espérer" être président. Mais plutôt peser et influencer le pouvoir en place via ses prises de position relayées par les medias, grâce à son status de plus jeune candidat à la candidature. Il n'est ni de droite ni de gauche. Les lecteurs familiers de Rosanvallon trouveront ici une attitude typique de la "contre-démocratie".

Sur la forme de la communication de M. Verner, on notera également l'application du précepte de Seth Godin, auteur à succès de livres sur le "marketing viral" : pour réussir une communication virale, il faut l'angler de la manière à être "le plus..." de quelque chose ou "le premier à..." faire quelque chose. Etre le "plus jeune" candidat est un atout parmi les autres, identifiable, simple à communiquer de bouche à oreille, tout en étant remarquable, au sens premier du terme.

 

 

Comme l'a très bien démontré Céline Braconnier dans "La démocratie de l'abstention", une grande partie de l'électorat, potentiellement jeune et abstentionniste, ne connait ni les programmes, ni les nuances entre droite et gauche (extrait d'interviews tiré du livre : "Je vote toujours à gauche, d'ailleurs, cette fois-ci, j'ai voté Chirac") Par contre, nombreuses sont les personnes à définir les candidats par leur aspect physique ("j'ai voté pour le gros barbu" etc). Dans une logique de communication, et en phase avec la cible première de M. Verner, être le plus jeune candidat, avec une apparence vraiment spécifique, est également un atout.

 

Pour conclure, cette candidature (qui, j'espère, va devenir réalité via 500 parrainages) serait un vrai apport démocratique. Les études montrent notamment la difficulté des "jeunes de tous les âges" à rentrer dans le "jeu démocratique", c'est à dire à habiter la démocratie française, avec leurs idées, l'envie "d'en être", de se projeter, de comprendre comment ça marche. Certains se tournent rapidement par dépit ou méconnaissance vers des votes extrêmes, destructeurs potentiels du système incompris (saviez vous que le FN était le parti qui proposait la plus jeune moyenne d'âge dans ses candidats,  toutes élections confondues?).

 

Un tel candidat pourrait les réintermédier, les aider à rentrer dans le costume d'électeurs, voire même d'élus, dès le plus jeune age. Une démocratie qui ne tourne "qu'avec et pour" des personnes de 45-60ans (la population qui vote le plus en France) ne peut être "durable", au sens de projets de société à horizon 20 ou 30 ans, avec cette touche d'utopie et d'ambition qui caractèrise la jeunesse.

 

Alors, pour l'aider, on envoie tous une lettre à son maire pour qu'il parraine Maxime :)

 

 

Et les politiques nous souhaitèrent bonne année (via Celsa-Misc)

A lire en ce moment un très bon article sur le blog des étudiants en Master "Media informatisés et stratégie de communication" au celsa.

Il analyse de manière critique la façon dont nos homme politiques souhaitent leurs voeux, du plus moderne au plus kitsch:) Petit extrait:

"Alors pourquoi ? Quel est alors le véritable intérêt des politiques à placer leurs vœux sur Internet ?

Dans le cas des personnalités politiques, hormis N.Sarkozy qui bénéficie d’une couverture « événementielle » par la télévision, Internet offre une possibilité de diffusion à plus grande échelle que celle des médias traditionnels qui leur auraient donné une visibilité limitée. Ce processus permet également de faire sens, d’indiquer  « nous sommes sur Internet », en affichant pour peu de frais une modernité quelque peu « au rabais ».

Mais la présence sur Internet des vœux des politiques est indispensable, dans le sens où « elle ne pourrait pas ne pas être », un silence internet pouvant être perçu comme un archaïsme. Mais la médiatisation et surtout la  viralisation du message (qui se base principalement sur des éléments fédérateurs comme le rire, le choc etc…) sont très  limitées en raison de son caractère purement institutionnel, lequel crée un décalage frappant avec l’imaginaire du média dans lequel il se déploie.

En ce début d’année 2011, ce sont les vœux d’Hervé Morin, qui reçoit dans sa cuisine, avec des fiches mal dissimulées dans ses casseroles, qui ont su attirer l’attention. Il remporte l’estimable palme des “voeux les plus LOL“(minutebuzz) , le “concours du kitsch“(nouvelobs). Se sont démarqués également les voeux de la ministre Belge de la Culture Fadila Laanan, grande inconnue du public avant qu’elle ne décide de s’adresser à un ours en peluche en guise de vœux 2.0."

Les vœux d'Hervé Morin aux adhérents du Nouveau Centre
envoyé par nouveaucentre. - Regardez les dernières vidéos d'actu.

  

Petite interview sur le blog des étudiants du celsa:)

Merci aux étudiants du celsa (spécialité Media Informatisé et Stratégie de Communication), pour cette interview très fine autour de la sortie du livre "Egocratie et Démocratie : La nécessité de Nouvelles Technologies Politiques"

 

Je vous recommande d'ailleurs chaudement d'ajouter ce blog dans vos favoris, on y découvre un regard critique et prise de hauteur salvatrice sur des faits d'actualité. Voir par exemple leur lecture du film "The Social Network" ou encore le décryptage de la campagne mc do sur twitter.

 

Allez, petit extrait de l'interview ci-dessous, pour vous donner envie d'en lire plus:)

 

"Vous suggérez au monde politique des préconisations de dispositifs collaboratifs et « interactifs » (et non participatifs !) notamment en vous inspirant de certaines initiatives du domaine marchand. Avez-vous eu des retours de la part des politiques ou de conseillers?

Tout à fait, le livre a été écrit pendant une période de recherche à temps plein de plus de six mois, qui m’a permis de rencontrer et étalonner ces propositions avec des représentations politiques de tout niveau : élus locaux, régionaux ou conseillers nationaux (travaillant dans les ministères notamment).

 

J’ai également interviewé des militants politiques, ainsi que des  aspirants àdevenir “représentant” du peuple. Les réactions sont diverses, comme vous pouvez l’imaginer. La représentation démocratique est avant tout une affaire d’individus, donc de subjectivité. On pense trop la démocratie comme une mécanique constitutionnelle et conceptuelle (“l’idée de démocratie”), là où une grande marge de manœuvre est laissée aux représentants et aux citoyens pour trouver un équilibre de pouvoir.

Nos représentants ne seront jamais “transparents”, au sens de laisser passer lalumière, par construction : leur subjectivité leur permet de généraliser les besoins d’individus physiquement et socialement totalement disparates. Dès lors, les représentants qui sont familiers des medias sociaux, ou qui ont tout simplement une curiosité d’esprit, ont un général une envie de comprendre ces “nouvelles technologies politiques”. Les autres, beaucoup moins, quelque soit le bord politique, là n’est pas la question."

 

Vous en voulez encore? et hop hop hop, une autre interview sur le blog du étudiant du CELSA, option Communication et Technologies Numériques (CTN) :)

Deux interventions prochaines pour le CELSA Paris-Sorbonne

Je vais avoir la chance de participer très prochainement, à deux reprises, à deux évènements organisés par le Celsa, rattaché à l'université de la Sorbonne Paris IV, ayant le status spécial de grande école de communication au sein de l'université.

Il y en a pour tous les goûts, à vous de choisir ce qui vous convient le mieux ! bravo au passage aux étudiants et ex-étudiants du celsa qui organisent bénévolement ces deux conférences (entrée libre) pour partager leurs expériences avec un maximum de personnes intéressées.

**** La première a lieu ce jeudi 15 octobre, à partir de 18h30 à la Mairie du 4e arrondissement de Paris (2 place Baudoyer 75004 Paris, Métro Hôtel de Ville), oraganisée par la Junior-Entreprise du CELSA. La conférence sera suivie d'un cocktail. Le thème et les intervenants sont:

Web 2.0 : nouvelles interactions, nouvelles possibilités : Comment faire du Web un outil de communication efficace ?

Avec Laurent Ellerbach // Microsoft  Responsable Marketing de la Division plateforme et Ecosysteme
Denis Duwoye // TBWA/Corporate  Directeur Internet et Multimédia
Fanny Berrebi // Self Image  Responsable du pôle web, Chef de projet éditorial
Votre serviteur // auteur de livres sur l'économie d'internet et Maitre de conférence associé au celsa

merci de bien vouloir confirmer votre présence avant le 12 octobre à l’adresse suivante: [email protected]

**** La seconde a lieu le mercredi 21 octobre 2009, à la Cantine à Paris (passage des panorama, métro grand boulevard), à 18H30. Je serai l'animateur de cette soirée placée sous le parrainage du Social Media Club France et de l'agence ThinkOut : venez découvrir les tendances com' de demain expliquées de manière vivante par ces jeunes diplomés de la Sorbonne !

Les étudiants de la promotion Media informatisé et Stratégie de Communication 2008-2009 du CELSA présenteront les principaux résultats de leurs travaux de recherche en communication digitale. Une page est dédiée à l'évènement pour découvrir l'ensemble des thèmes abordés. De nombreuses présentations très pointues se succèderont sur le rythme de 5 minutes par présentation, 20 slides donc 20 secondes par slides. L'inscription est gratuite sur le site de la cantine.

Voici une liste des thèmes et intervenants, pour donner envie de venir nombreux (faites passer le mot) :

    * Frédéric Dith : La lomographie - Etude d'un mouvement et d'une communauté artistique sur le web fondés autour d'une esthétique alternative. Mots clés:  photographie, esthétique, communautés, marketing

    * Antoine Allard : Des origines et des valeurs de l'expression personnelle en ligne: transpositions et adaptations des logiques d'influences dans les sphères digitales. Mots clés: influence, buzz, community management, e-reputation, social media, réseaux sociaux, personal branding

    * Egide Maës : L'ambiguïté relationnelle entre les marques et leurs clients à travers les imaginaires du téléphone portable. Mots clés: téléphone portable, mobilité, marques, imaginaires, média, relationnel

    * Julien Lacheray : L’influence des blogs : réel pouvoir ou critère de survie économique. Mots clés: influence, blog, classement, influenza, autopredication, publicité

    * Andrei Vladescu-Olt : L'organisation du Web dans les systèmes de tagging collaboratif. Mots clés: social bookmarking, communauté, web, participatif, organisation, sémantique

    * Damien Saldo : Interfaces hommes-machines : vers une communication multimodale. Mots clés: interfaces, ergonomie, utilisabilité, réalité augmentée, projet natal, sciences cognitives, usages sociaux

    * Johann Choron : Les discours d'accompagnement de Twitter avant/pendant/après les évènements iraniens. Mots clés: Twitter, Iran, web, média social, réseaux sociaux, journalistes

    * Cyril Duport : Le succès du netbook face au concept d'innovation technologique. Mots clés: netbook, mobilité, nomadisme, hybridité, innovation technologique, technologies mobiles

    * Cécile Achour : Penser la notion de contact sur Internet : l'influence des technologies tactiles. Mots clés: contact, réseau, usages, tactile, marketing viral

    * Anne Perrot-Hue : Les paradoxes entre le dispositif des blogs et la réalité stratégique de l'armée de Terre française. L'exemple du blog du chef d'état-major de l'armée de Terre. Mots clés: blogs, transparence, immédiateté, imaginaire démocratique, défense, entreprise, institution, interne

    * Raphaëlle Tricoche : Les recommandations musicales et la gouvernance du jugement : le cas de Genius. Mots clés: recommandations musicales, genius, jugement musical, singularités

    * Raphaëlle Thibaut : La Catch-up TV au coeur des problématiques de convergence numérique. Mots clés: consommation audiovisuelle, usages sociaux, complémentarité éditoriale, web, délinéaristaion de contenu, PayTv

    * Mathilde Berchon : La figure du créateur de start-up, entre imaginaires médiatiques et pratiques professionnelles. Mots clés: entrepreneur, web, entreprise, start-up, imaginaires, médias

    * Morgane Labarre : La co-création publicitaire entre annonceurs et Motion Makers via Dailymotion. Mots clés: motionmaker, dailymotion, pro-am, co-création, annonceurs, vidéo, créatif, web

***** Et en bonus (héhé), j'interviendrai (pour les Palois:), à l'Ecole Supérieur de Commerce de Pau mercredi 14 octobre, dans le grand amphi de 18h30 à 20H30, sur le thème de l'économie du gratuit, appliquée à l'industrie du divertissement (musique, cinéma, jeux vidéo + media)

Bref, restez branchés !

CELSA, les slides du cours numero 4

Voici donc le dernier cours que j ai donné au CELSA, sur les business model 2.0. Vous y trouverez de nouvelles manières de calculer la valeur créée par votre service, notamment de musique en ligne.

Vous pouvez télécharger les slides en intégralité, ici : Téléchargement celsa_cours_n4_alban_martin_light.ppt

Retrouvez les cours précédents, ici . Bon courage aux élèves pour cette dernière ligne droite, et n'oubliez pas comment faire la différence :)

CELSA cours numéro 3

Hier avait donc lieu mon troisième cours au Celsa-Paris IV Sorbonne sur la musique et les media informatisés, intitulé " Promotion 2.0, de "il est beau mon groupe" à "fais tourner"

J'ai eu l'honneur d'acceuillir Emmanuel Vivier comme intervenant, co-fondateur de culture-buzz, pour un cours sur les leviers du buzz et du marketing viral dans le monde de la musique en ligne.

Au programme du cours, le détail du concept d'expérience musicale, pas simple à appréhender (objectivisation du subjectif), et les outils pour débuter une relation fructueuse de cocréation d'expérience, impliquer les fans et lancer le buzz.

Pour info, les étudiants se sont vus expliquer le concept de DART (Dialog Access Risk and Transparence) inspiré des professeurs américains CK Prahalad et V. Ramaswany, développé dans leur livre "The future of Competition", édité chez Harvard Business School Press, rien que ça). Pas facile facile:).

Ce troisième cours est intégralement téléchargeable ici. Sinon, les cours numéro 1 et 2 sont téléchargeables ici et ici. Merci encore à Emmanuel pour ces riches exemples !

CELSA cours numéro 2

Attention mes amis, ce cours tue !

Il a été fait en partenariat avec Anne Catherine Lorrain, juriste et doctorante en droit de la propriété intellectuelle et NTIC (profil LinkedIN), et il s'intitule "Eclairage juridique pour créer un service en ligne de promotion de la musique". A mon avis, la dualité SACEM/licence libre a rarement été abordée de manière aussi complète, on rentre dans le vif du sujet...

Le fil rouge: "apprendre à promouvoir de manière légale la musique via internet".

Vous pouvez télécharger l'intégralité des slides ici (licence Creative Commons), et retrouver le cours numéro un, ici. Prochain cours: apprendre à faire du buzz, rdv fin novembre !

Cours numéro 1 au CELSA

Comme vous le savez peut-être, depuis la rentrée, je donne des cours au CELSA-ParisIV Sorbonne (fac de com' de la Sorbonne), dans le master II professionnel intitulé "Media informatisés et Stratégie de Communication" (niveau DESS).

Ce cours, mi-théorique, mi-pratique, porte plus particulièrement sur le thème "Musique et media informatisés". Retrouvez ci-dessous le premier cours (ou téléchargez le ici en Creative Commons), qui porte sur "l'impact des NTIC sur la filière musicale dans son ensemble". J'utilise le service en ligne de partage de powerpoint slideshare, vu chez Fred Cavazza.